L'indicible |
Titre volume | Le rapport de Brodeck N°2 |
Auteurs | Larcenet, Manu (Auteur) Claudel, Philippe (Idée origin.) |
Edition | Dargaud : Bruxelles , 2016 |
Collation | 1 vol. (165 p.) |
Illustration | ill. |
Format | 25 x 30 cm |
indice Dewey | 741.5 |
Prix | 22,50 EUR |
Langue d'édition | français |
Sujets | Shoah (thème) -- Littérature Guerre mondiale (1939-1945) -- Roman |
Catégories | Bandes dessinées & Mangas |
Thèmes | Bande dessinée ado/adultes Roman philosophique Comité Lecture Adultes Nord-Sénonais |
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Résumé : Manu Larcenet se confronte à une adaptation, celle du chef-d'oeuvre de Philippe Claudel, Le Rapport de Brodeck. Mais lorsque l'auteur de Blast et du Combat ordinaire s'empare du texte, c'est pour le faire sien, et lui donner une nouvelle vie éclatante, sombre et tragique. Des pages d'une beauté stupéfiante, magnifiant la nature sauvage et la confrontant à la petitesse des hommes, une plongée dans les abîmes, servie par un noir et blanc sublime et violent. Un très grand livre.
Notes : Brodeck lui-même a, pendant la guerre, été déporté dans un camp en raison de sa religion et de son origine. Les gens du village l'ont eux-mêmes désigné pour acheter leur tranquillité avec l'occupant. Et pour avoir voulu défendre trois jeunes filles que les notables du village voulaient livrer à l'occupant, Emélia, la femme de Brodeck est violentée toute la nuit et perd la raison. Le récit que fait Brodeck, par petites touches, de sa déportation, suit le canevas des récits des déportés, même violence, même mépris de la vie et des déportés, même retour au pays plus mort que vif devant les habitants médusés et gênés.
Prix Landerneau 2015
Notes : Brodeck lui-même a, pendant la guerre, été déporté dans un camp en raison de sa religion et de son origine. Les gens du village l'ont eux-mêmes désigné pour acheter leur tranquillité avec l'occupant. Et pour avoir voulu défendre trois jeunes filles que les notables du village voulaient livrer à l'occupant, Emélia, la femme de Brodeck est violentée toute la nuit et perd la raison. Le récit que fait Brodeck, par petites touches, de sa déportation, suit le canevas des récits des déportés, même violence, même mépris de la vie et des déportés, même retour au pays plus mort que vif devant les habitants médusés et gênés.
Prix Landerneau 2015
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