Résumé : Chaque chapitre porte le nom d’une œuvre. Aram Kebabdjian les a toutes inventées, ainsi que les noms, les vies, les principes esthétiques de leurs créateurs. Certains s’imposent : leur cote monte, les musées leur consacrent des expositions. D’autres sont victimes de leurs démons intérieurs, de leur trop grand succès ou de tortueux complots. Dans les vernissages se pressent galeristes, critiques d’art, collectionneurs et fonctionnaires de la culture. Roman de pure fiction, Les Désœuvrés dévoile le monde de l’art contemporain avec une justesse, une pertinence, une vérité et une maestria littéraire impressionnantes.